Et si la France repensait entièrement sa politique à l’égard de sa diaspora ?
Et si, pour y parvenir, nous utilisions non pas un rapport administratif de plus… mais la prospective ?
C’est la piste que j’explore dans un nouvel article, écrit dans la continuité de mon entretien avec Quentin Ladetto, directeur de l’Atelier des Futurs et responsable du département de prospective technologique d’ARMA Suisse. Son exercice de design fiction, Decent Fiction, m’a inspiré une démarche similaire : imaginer, par la projection, ce que pourrait être une véritable politique diasporique française, ses institutions, ses acteurs, ses missions, et les mécanismes qui permettraient enfin de reconnaître la diaspora comme un actif stratégique.
Car la prospective n’est pas un simple outil d’anticipation : elle bouscule, révèle, déverrouille. Elle permet de regarder autrement une population souvent ignorée des politiques publiques, alors même qu’elle pourrait jouer un rôle majeur dans la souveraineté, l’attractivité et la résilience nationales.
En mobilisant les méthodes de design fiction, j’interroge ainsi ce que pourrait devenir la relation entre la France et ses communautés à l’étranger : quelles structures nouvelles ? Quels organes d’intelligence collective ? Quel place pour l’influence, la veille, la transmission, le lien économique ?
Cet article est une invitation à ouvrir le champ des possibles, à déplacer le cadre, à insuffler un imaginaire stratégique là où règne encore le silence institutionnel.
👉 L’article complet est à découvrir sur le site de l’Atelier des Futurs (dirigé par Quentin Ladetto) :